ASSE - Dall'Oglio ne s'attendait pas à ça en arrivant à Saint-Étienne

Olivier Dall'Oglio : "Je me sens très bien, ça fait un mois que je suis là. On a dû me dire 200 ou 300 fois "bienvenue". C'est appréciable, lorsqu'on arrive de l'extérieur c'est sympathique. Ce n'est pas partout pareil, j'ai ressenti de la sincérité. On ne s'attend pas un accueil aussi chaleureux, pas spécialement. On me l'avait dit, j'ai eu beaucoup de messages de sympathie, c'est vraiment agréable. (...)

Je n'ai pas eu l'occasion de découvrir la ville, je prendrai le temps de le faire, notamment la Cité du design. J'ai besoin de le voir, je n'ai pas encore eu le temps d'aller voir le Musée des Verts qui me tient à cœur donc il y a pas mal de programmations à faire dans les prochains jours."

Le coach stéphanois explique également qu'il est important de savoir couper du football pour un entraineur : "Je ne pense pas que ce soit une bonne chose. J'ai du mal parce que je suis très foot, je regarde beaucoup de matchs mais j'arrive un peu à me soigner (sourire). Parce qu'en fait, il ne faut pas devenir malade de foot parce que vous risquez de perdre votre lucidité à un moment donné. Il faut aussi savoir décrocher, parler d'autre chose, notamment quand on rentre à la maison. Maintenant, il y a des impératifs, des moments où on ne peut pas trop le faire. Par exemple, quand je suis arrivé, la première semaine, il y avait beaucoup de choses à voir sur l'effectif, sur le club, donc je n'ai pas trop décroché. Je connais des amis à moi qui ont des sommeils très perturbés, et ça n'avance à rien. Il faut récupérer, avoir de la lucidité, prendre du recul, donc à un moment donné il faut savoir doser son temps. Il y a des moments où j'aime bien sortir, aller me balader. Ce matin je suis parti me balader une heure et je n'ai pas pensé au football, je regardais l'architecture de Saint-Galmier et c'était très bien. J'ai visité la source Badoit, je n'ai malheureusement pas pu remplir mes bouteilles, je n'avais pas encore la carte mais ça ne saurait tarder (sourire). Il faut savoir par moment couper sur autre chose, savoir prendre un bouquin etc. Mais effectivement les trois quarts de mon temps, c'est sur le football."

Justement, pour couper, Olivier Dall'Oglio aime bien pratiquer un autre sport, le vélo : "Je fais du vélo, j'aime faire du vélo, de route et j'ai un VTT musculaire et un VTT électrique. Quand je veux me balader et profiter du paysage je prends le vélo électrique et quand je veux mettre une cartouche (sic) comme on dit, je prends mon vélo musculaire. (...) Oui je suis le Tour de France un petit peu mais surtout les fins d'étapes, parce que sinon c'est trop long (sourire)."

Retrouvez l'intégralité de l'interview d'Olivier Dall'Oglio en cliquant ici.