Bossis : "J'espère que ça se passera bien pour les Stéphanois"

Anciens Verts | Publié le par Dunkan | 22 commentaires

L'ancien joueur international français, Maxime Bossis a été directeur sportif de l'ASSE dans les années 90. En dédicace à la libraire de Paris, pour son livre "Le Grand Max", l'ancien vert est revenu sur le rachat du club auprès du journal Le Progrès.

Avant d'être directeur sportif des Verts durant la saison 1995/1996, l'ancien international français Maxime Bossis était joueur et international français (76 sélections) Il possède une longue carrière, actif de 1973 à 1991. En tant que joueur "Le Grand Max" a connu deux clubs dans sa vie de footballeur, le FC Nantes de 1973 à 1985, puis le Matra Racing de 1985 à 1989, avant de revenir dans son club de coeur le FC Nantes. 


En dédicace à la Librairie de Paris pour son livre préfacé par Zinédine Zidane : "Le Grand Max", l'ancien vert est revenu sur son aventure en tant que directeur sportif de l'ASSE, et sa courte expérience de coach dans les colonnes du Progrès : "J'avais refusé des offres d'entraîneurs avant de venir à Saint-Étienne comme directeur sportif. Comme ça ne marchait pas très bien pour la première année d'Elie Baup comme coach, il est parti. Mais j'ai refusé de prendre la suite. Sauf pour le derby où j'ai lancé Willy Sagnol (ASSE-OL en 1996,1-1, NDLR), avant de faire venir Dominique Bathenay." Durant cette saison le club descend, pour Maxime Bossis cette expèrience lui a permis de voir ses envies : "Ce n'était pas ma vocation. Cela ne m'a pas donné plus envie d'être entraîneur."


Depuis début juin l'ASSE est de retour en Ligue 1, après sa victoire en barrage aller/retour contre le FC Metz, mais surtout le club a été racheté après de nombreuses années de négociations. L'ancien vert a donné son avis sur la récente vente de l'ASSE : C'est dans la droite file de ce qu'il se passe dans les clubs français avec énormément d'investisseurs étrangers. Avec l'avantage parfois d'injecter de l'argent et d'avoir une équipe compétitive, mais aussi le danger qu'ils partent aussi vite qu'ils sont venus. Bordeaux en a fait l'amère expérience. J'éspère que ça se passera bien pour les Stéphanois."

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