Bouanga : "Il y a vraiment un groupe qui a mis le cerveau à l'endroit"
Denis Bouanga est revenu sur la victoire face à Metz après la rencontre en zone mixte. Le seul buteur du match ne s'enflamme pas et sait que le maintien est loin d'être joué.
Tu peux nous raconter ce but, tu n'as pas fait exprès ?
Je voulais faire ça, mais la glissade m'a bien aidée (sourire). C'est rentrer dedans. C'était une joie pour moi, pour le public, pour toute l'équipe.
C'est un but hyper-important
Vraiment important, on avait à cœur de gagner ce match-là, de s'éloigner de cette zone-là. Pour nous, on a rien à faire ici. Il ne faut pas croire que tout est fait, il y a encore beaucoup de matchs à jouer, il faudra continuer comme ça.
On a eu l'impression que ce but refusé t'a fait un peu plonger, on te sentait moins bien après
Déjà je me suis pris un jaune. Ce n'était pas très bien, on voulait rester à onze. Je m'en suis voulu car je ne fais pas exprès de mettre la main et il me met jaune alors qu'on a eu un cours d'arbitrage où on nous avait pas dit la même chose. C'est comme ça.
Cela a été un moment exceptionnel aujourd'hui avec le public ?
C'est magnifique de voir une ambiance comme ça, cela faisait vraiment longtemps. 36 000 personnes à nous pousser, en plus on leur offre la victoire. On était obligé de célébrer parce que c'est très beau de voir ça à Geoffroy-Guichard.
Est-ce que vous avez pris l'ascendant définitivement par rapport au maintien ?
Non il y encore des matchs à jouer. Tout reste à faire, on a monté une marche on va dire. Il y a encore onze finales à jouer. On va jouer les matchs les uns après les autres. On a très envie, l'état d'esprit est là, on veut gagner un maximum pour ne pas regarder en dessous. On va essayer de continuer comme ça et de faire une série.
Le gardien messin nous disait qu'ils avaient pris un coup sur la tête ce soir, elle va compter la victoire de cet après-midi ?
Oui c'est sûr elle comptera, tout comptera, chaque point compte. Quand tu perds, derrière et devant ça avance donc d'en prendre trois ce soir c'est parfait.
Qu'est ce qui a changé par rapport au début de saison ?
L'état d'esprit on va dire. Il y a vraiment un groupe qui a mis le cerveau à l'endroit, qui se bat les uns pour les autres. On l'a vu encore cet après-midi, on arrive à ne pas prendre de but. On n'est plus dans la réaction, c'est ce qui fait aujourd'hui notre force.
À titre personnel, cela va mieux avec ce but à Paris, ces deux passes décisives face à Strasbourg, tu marques encore cet après-midi
Cela marche mieux parce que le groupe et le staff me mettent en confiance. J'avais besoin de ça, besoin de retrouver cette confiance que j'avais il y a deux ans. C'est ce qu'ils font très bien, je travaille deux fois plus pour justement aider l'équipe, c'est ce qui marche aujourd'hui. La confiance est revenue après il ne faut pas que je reste là-dessus, il faut que je continue à aller chercher un peu plus. Je sais que je peux faire plus.
Rémy Cabella vous a-t-il fait des confidences dans le vestiaire ?
Il nous a félicité, il n'est pas venu pour rien, on a gagné (sourire). Cela fait toujours plaisir de le voir, il nous a dit la même chose.
Il y a encore de la place dans le vestiaire ?
Ça je ne pourrai pas vous dire (rires).
Je voulais faire ça, mais la glissade m'a bien aidée (sourire). C'est rentrer dedans. C'était une joie pour moi, pour le public, pour toute l'équipe.
C'est un but hyper-important
Vraiment important, on avait à cœur de gagner ce match-là, de s'éloigner de cette zone-là. Pour nous, on a rien à faire ici. Il ne faut pas croire que tout est fait, il y a encore beaucoup de matchs à jouer, il faudra continuer comme ça.
On a eu l'impression que ce but refusé t'a fait un peu plonger, on te sentait moins bien après
Déjà je me suis pris un jaune. Ce n'était pas très bien, on voulait rester à onze. Je m'en suis voulu car je ne fais pas exprès de mettre la main et il me met jaune alors qu'on a eu un cours d'arbitrage où on nous avait pas dit la même chose. C'est comme ça.
Cela a été un moment exceptionnel aujourd'hui avec le public ?
C'est magnifique de voir une ambiance comme ça, cela faisait vraiment longtemps. 36 000 personnes à nous pousser, en plus on leur offre la victoire. On était obligé de célébrer parce que c'est très beau de voir ça à Geoffroy-Guichard.
Est-ce que vous avez pris l'ascendant définitivement par rapport au maintien ?
Non il y encore des matchs à jouer. Tout reste à faire, on a monté une marche on va dire. Il y a encore onze finales à jouer. On va jouer les matchs les uns après les autres. On a très envie, l'état d'esprit est là, on veut gagner un maximum pour ne pas regarder en dessous. On va essayer de continuer comme ça et de faire une série.
Le gardien messin nous disait qu'ils avaient pris un coup sur la tête ce soir, elle va compter la victoire de cet après-midi ?
Oui c'est sûr elle comptera, tout comptera, chaque point compte. Quand tu perds, derrière et devant ça avance donc d'en prendre trois ce soir c'est parfait.
Qu'est ce qui a changé par rapport au début de saison ?
L'état d'esprit on va dire. Il y a vraiment un groupe qui a mis le cerveau à l'endroit, qui se bat les uns pour les autres. On l'a vu encore cet après-midi, on arrive à ne pas prendre de but. On n'est plus dans la réaction, c'est ce qui fait aujourd'hui notre force.
À titre personnel, cela va mieux avec ce but à Paris, ces deux passes décisives face à Strasbourg, tu marques encore cet après-midi
Cela marche mieux parce que le groupe et le staff me mettent en confiance. J'avais besoin de ça, besoin de retrouver cette confiance que j'avais il y a deux ans. C'est ce qu'ils font très bien, je travaille deux fois plus pour justement aider l'équipe, c'est ce qui marche aujourd'hui. La confiance est revenue après il ne faut pas que je reste là-dessus, il faut que je continue à aller chercher un peu plus. Je sais que je peux faire plus.
Rémy Cabella vous a-t-il fait des confidences dans le vestiaire ?
Il nous a félicité, il n'est pas venu pour rien, on a gagné (sourire). Cela fait toujours plaisir de le voir, il nous a dit la même chose.
Il y a encore de la place dans le vestiaire ?
Ça je ne pourrai pas vous dire (rires).
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