Flash : Trois points qui font du bien !
Blessé de dernière minute, Loïs Diony était contraint de regarder le match des tribunes. Une situation qui profitait à Robert Beric, titularisé de ce fait en pointe de l’attaque des Verts. Il ne fallait pas patienter longtemps pour retrouver les qualités du buteur slovène. Trouvé par Timothée Kolodziejczak, le numéro 27 stéphanois n’avait besoin que de quatre minutes pour ouvrir le score (1-0, 4’). Face à un Racing en difficulté, les hommes de Jean-Louis Gasset se montraient plus tranchants que lors des dernières sorties. Quelques instants plus tard, l’ASSE pensait bénéficier d’un penalty pour une main strasbourgeoise mais la VAR venait justement déjuger l’arbitre central. Un répit de courte durée pour les coéquipiers de Matz Sels, contraint de rompre une seconde fois sur une tête de Loïc Perrin, sollicité par Robert Beric, encore lui (2-0, 27’). La première mi-temps était alors une formalité et s’achevait sur ce score de deux buts à zéro.
Oui mais voilà, l’ASSE joue une mi-temps sur deux depuis plusieurs mois et ne changeait pas ses bonnes habitudes aujourd’hui. Revenus avec d’autres intentions, les Strasbourgeois offraient alors une toute autre adversité aux Verts. Les entrées de Mathieu Debuchy puis de Valentin Vada ne changeaient pas la dynamique du match. En toute logique, le RCS réduisait alors le score par l’intermédiaire de Nuno Da Costa (2-1, 73’). La pression alsacienne s'accentuait mais Robert Beric, toujours lui, obtenait un penalty après une faute par derrière du buteur strasbourgeois. Sauf que... La VAR, encore elle, faisait des sienne. Jérôme Brisard annulait alors un penalty qui semblait indiscutable, histoire de faire perdurer le running gag de la honte. Heureusement, cette fois, cette décision n'empêchait pas les Verts de s'offrir leur premier succès depuis un mois. Trois points qui font du bien.
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