Julien Lopez n'a que la victoire en tête
Le Paris Football Club n'a plus gagné depuis sept matchs toutes compétitions confondues et reste sur quatre nuls consécutifs dans le Championnat de France de Ligue 2 BKT.
Forcément, avant d'affronter l'AS Saint-Étienne dans un stade Sébastien Charléty qui sera pour la première fois, dans l'histoire du club, plein comme un œuf, Julien Lopez affiche sa détermination et son envie de renouer avec le succès tout en stoppant la bonne série en cours des Verts : "Je suis revenu (ndlr : de retour de blessure depuis quatre matchs) dans une équipe qui ne gagne plus. Ça ne tourne pas en notre faveur depuis que je suis revenu. Le point positif, c'est qu'il y a du contenu dans les matchs que l'on fait, on se créé des occasions. Ce n'est pas comme si on faisait des 0-0 avec aucun tir cadré dans le match. On se créé beaucoup de situations mais on a du mal à les concrétiser. C'est sur cela qu'il faut travailler en ce moment. Il faut faire tourner en notre faveur, ça passe par l'entraînement et les matchs, en étant peut-être plus concentré dans les derniers mètres pour marquer, être plus agressif dans la surface adverse.
Ce sont des matchs nuls mais ils ne sont pas tous négatifs à mon sens. Il faut continuer à bosser, garder le positif et il faut aller gagner samedi contre Saint-Étienne.
C'est le genre de match que tous les footballeurs aiment jouer. La motivation elle sera là. Il faut tout mettre de notre côté pour gagner le match, relancer une série, on est dans un moment un peu plus compliqué, c'est à nous de faire basculer les choses. Il faudra commencer le match à 100%, être agressif. On sait que Saint-Étienne est en confiance en ce moment mais ça ne veut rien dire. C'est à nous d'attaquer ce match pour le gagner, on doit jouer pour le gagner et ne rien calculer. On doit avoir envie de gagner encore plus que Saint-Étienne. Ils viennent en étant sur trois victoires de suite, nous, on doit être trois fois plus motivé parce qu'on joue à domicile. Il va y avoir du monde, on ne joue pas souvent le samedi à 15h00, c'est à nous de montrer que l'on mérite d'être là."