La composition probable de l'ASSE face à Quevilly-Rouen Métropole

Petite révolution à l’ASSE, pour la première fois de la saison, Laurent Batlles devrait pouvoir aligner un piston gauche dans son 3-5-2. En effet, annoncé sur le retour par son coach en conférence de presse, jeudi, Niels Nkounkou postule à une place de titulaire : "Est-ce que Niels Nkounkou peut prétendre jouer ? Aujourd’hui oui. Je l’espère. Il s’est rempli physiquement, il a fait une semaine pleine où il s’est entrainé tous les jours. Avec ce qu’on a préparé j’espère qu’il pourra prétendre jouer ce week-end. (...) Je n’ai pas l’effectif du PSG (sourire). Je n’ai pas la possibilité de me priver de joueurs qui peuvent apporter quelque chose à l’équipe. J’ai beaucoup discuté avec lui et je souhaite qu’il soit prêt à jouer, si je le mets sur le terrain c’est que j’ai des certitudes mais je ne peux pas garantir la prestation qu’il va réaliser. (...) Oui, il m’a dit qu’il était prêt à jouer et ce n'était pas le cas les semaines précédentes. Ça change qu’on a un joueur au poste désormais, qui connait ce rôle de piston gauche. C’est quelqu’un d’important pour le groupe, à nous et à lui de faire ce qu’il faut pour pouvoir prétendre faire un beau match. Il fait partie de l’équipe."

Retenu dans le groupe de 18 joueurs convoqués par Laurent Batlles, hier en milieu d’après-midi, Niels Nkounkou devrait démarrer ce soir dans une défense composée de Pétrot, Briançon, Batubinsika et Appiah. Au milieu, c’est le trio Monconduit, Fomba et Bouchouari qui devrait démarrer dans le Chaudron, en l’absence de Moueffek et avec le départ de Mouton à Pau, Lobry et Chambost seront les solutions de remplacement pour le coach. Enfin devant, avec la blessure pour quatre semaines de Wadji, c’est Mathieu Cafaro qui devrait être aligné aux côtés de Sissoko. Charbonnier encore un peu juste, Batlles a concédé avant le match réfléchir à changer son animation devant. Au coeur de sa réflexion, le positionnement de Mathieu Cafaro : "Cafaro ? Il est à 100%, on verra comment le faire jouer, le fait de ne pas avoir deux attaquants rebat les cartes aussi. À un moment donné il faut que je trouve des solutions aussi parce que je n’ai plus qu’un seul attaquant. C’est moins difficile parce qu’il a déjà fait certaines choses (en attaque, ndlr) et que les joueurs qui jouent à son poste ont déjà joué à ce poste-là. C’est différent de ce qu’on a connu sur le poste de piston gauche où on avait personne vraiment de métier."

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