Moulin : "Moi, mes claquettes, on me les pique tous les jours et je ne sais pas qui c'est ! "
Chambreur, Jessy Moulin est l'un des principaux artisans de la bonne humeur ambiante au sein du vestiaire de l'AS Saint-Etienne. Invité par France Football à présenter ses coéquipiers, le gardien des Verts a envoyé quelques petites piques pleines d'humour envers Monnet-Paquet, le roi du bide, ou encore Beric qui ne sait toujours pas prononcer le mot "cheval".
"Le plus ambianceur ? Rémy Cabella. Il a mis beaucoup de bonne humeur dans ce vestiaire. C'est le sudiste, toujours là avec le sourire. Il est très agréable à vivre au quotidien. Il a la tchatche, il est toujours en train de parler, il a constamment la bouche ouverte. Il a le chambrage facile. Le patron ? Il n'y a pas forcément de patron. Mais le seul patron à avoir, ce serait Loïc Perrin, notre capitaine. Par ses qualités d'homme, son expérience au sein du club et par rapport à ses qualités sur le terrain. On sait que s'il y a le moindre souci, il est joignable sans aucun problème, et on peut lui parler de tout. Le papa ? C'est vrai que j'aime bien prendre soin de mes coéquipiers s'il y a besoin, mais comme tout le monde qui a un peu d'expérience dans le vestiaire. Le plus imperturbable ? Neven Subotic. Très discret mais extrêmement professionnel dans tout. Que ce soit dans son hygiène de vie, son travail d'échauffement, sur le terrain, après l'entraînement et les matches. Tu sens qu'il y a beaucoup d'expérience et des grands clubs derrière lui. Mais il peut aussi être très ouvert. Le chouchou du coach ? Difficile à dire. Pour rigoler je vais dire Yann M'Vila. Dernièrement, on l'a chambré sur sa conférence de presse où il s'est renvoyé la balle avec le coach. Mais il le mérite aussi par ses performances. Depuis qu'il est arrivé, on voit que c'est un très grand joueur. On sent qu'il est en pleine progression, et je pense que ce n'est pas fini. On a tous hâte de le voir à 100%. Celui qui galère en français ? Robert Beric. Pour dire un cheval, il dit un "chavace". Ça fait je ne sais combien de temps qu'il est là, et il ne sait pas parler français ! On le chambre beaucoup. Il essaie de s'y mettre, mais c'est compliqué. Celui qui est un grand enfant ? Rémy Cabella, Vincent Pajot qui aime son métier et qui veut prendre du plaisir sur le terrain en s'amusant. Il y a moi aussi. En fait, il y en a pas mal qui sont encore enfant.. Celui qui pique les claquettes et le gel douche des autres ? Ça, je ne sais pas ! Moi, mes claquettes, on me les pique tous les jours et je ne sais pas qui c'est ! Celui qui fait souvent un bide quand il fait une blague ? Monnet-Paquet. Une fois, j'ai raté une blague qui était très drôle. Derrière, il a voulu la refaire, et cela a fait un bide total parce qu'il l'avait très mal raconté.»
"Le plus ambianceur ? Rémy Cabella. Il a mis beaucoup de bonne humeur dans ce vestiaire. C'est le sudiste, toujours là avec le sourire. Il est très agréable à vivre au quotidien. Il a la tchatche, il est toujours en train de parler, il a constamment la bouche ouverte. Il a le chambrage facile. Le patron ? Il n'y a pas forcément de patron. Mais le seul patron à avoir, ce serait Loïc Perrin, notre capitaine. Par ses qualités d'homme, son expérience au sein du club et par rapport à ses qualités sur le terrain. On sait que s'il y a le moindre souci, il est joignable sans aucun problème, et on peut lui parler de tout. Le papa ? C'est vrai que j'aime bien prendre soin de mes coéquipiers s'il y a besoin, mais comme tout le monde qui a un peu d'expérience dans le vestiaire. Le plus imperturbable ? Neven Subotic. Très discret mais extrêmement professionnel dans tout. Que ce soit dans son hygiène de vie, son travail d'échauffement, sur le terrain, après l'entraînement et les matches. Tu sens qu'il y a beaucoup d'expérience et des grands clubs derrière lui. Mais il peut aussi être très ouvert. Le chouchou du coach ? Difficile à dire. Pour rigoler je vais dire Yann M'Vila. Dernièrement, on l'a chambré sur sa conférence de presse où il s'est renvoyé la balle avec le coach. Mais il le mérite aussi par ses performances. Depuis qu'il est arrivé, on voit que c'est un très grand joueur. On sent qu'il est en pleine progression, et je pense que ce n'est pas fini. On a tous hâte de le voir à 100%. Celui qui galère en français ? Robert Beric. Pour dire un cheval, il dit un "chavace". Ça fait je ne sais combien de temps qu'il est là, et il ne sait pas parler français ! On le chambre beaucoup. Il essaie de s'y mettre, mais c'est compliqué. Celui qui est un grand enfant ? Rémy Cabella, Vincent Pajot qui aime son métier et qui veut prendre du plaisir sur le terrain en s'amusant. Il y a moi aussi. En fait, il y en a pas mal qui sont encore enfant.. Celui qui pique les claquettes et le gel douche des autres ? Ça, je ne sais pas ! Moi, mes claquettes, on me les pique tous les jours et je ne sais pas qui c'est ! Celui qui fait souvent un bide quand il fait une blague ? Monnet-Paquet. Une fois, j'ai raté une blague qui était très drôle. Derrière, il a voulu la refaire, et cela a fait un bide total parce qu'il l'avait très mal raconté.»
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