Petite histoire de la Quenelle
Le mot Quenelle est d’origine allemande : Knödel, qui signifie boulette de pâte. Dans le langage populaire « quenelle » est employé, à la place du mot « farce », sorte de petites pièces comiques qui étaient autrefois interprétées par les bouffons. La pâte à quenelle est appelée « Panade », d’où l’expression, « on est dans la panade », très utilisée à Lyon, par les possesseurs d’actions en bourse, qui dégringolent.
La quenelle double de volume durant la préparation. Si le temps de cuisson n’est pas respecté, elle devient énorme et immangeable. On dit alors qu’elle est « lourdasse », en abrégé « Loulou » !! Elle finit à la poubelle !
La quenelle aux barabans, pourtant appréciée dans la Loire, et partout ailleurs, n’est pas du tout consommée à Lyon à cause de sa couleur verte, dit-on. Petite parenthèse : On sait que la couleur verte est maudite entre Rhône et Saône au point que, certains dirigeants du club de football lyonnais, voudraient que la pelouse du nouveau stade soit d’une autre couleur.
Une étude est en cours avec l’aide d’un célèbre journaliste de Canal+, originaire de la ville, surnommé « Margot »! Malheureusement les 1ers essais ont montré que même si Margot tond… l’herbe repousse toujours verte.
On préfère donc la quenelle dite « gratinée », ce qui est normal dans une ville bourgeoise.
Les quenelles s’accordent parfaitement avec les nouilles. Le lyonnais complètera volontiers le repas d’une andouillette et surtout de la fameuse cervelle de canut. (Les mauvaises langues disent « On est toujours attiré par ce qu’il nous manque »). Le haricot peut également être servit comme accompagnement, à condition, là encore, qu’il ne soit pas vert.
La quenelle de foie, est une variante très prisée dans l’est de la France, mais pas à Lyon, où il est difficile de trouver des foies de bonne qualité, à cause du Beaujolais.
Certaines nouvelles variétés, ont du mal à convaincre hors du Rhône, comme La Bio-lait, sans succès, ou la fade Kornia’quenelle (aux clovisses). Par contre la surgelée de chez Tintagel, qui n’est pas de la camelote et qui se conserve bien, rencontre un franc succès jusqu’en Bretagne.
Pour terminer, attention aux contrefaçons !
Effet pervers de la mondialisation, une variété de quenelles aux origines incertaines et à bas prix, s’incruste peu à peu dans la capitale du Rhône via le Net ! D’aspect, elles sont proches des lyonnaises, mais leur goût laisse à …désirer…vomir
De plus, la composition exacte n’est pas clairement indiquée sur l‘emballage. Il semblerait que quelques « plantes…ou résines…nocives » d’origines exotiques, seraient grandement utilisées, avec les conséquences que l’on imagine, sur les facultés mentales de ceux qui en abuseraient.
On a déjà l’exemple, d’un homme d’affaires lyonnais qui, à cause d’une consommation immodérée, fait le désespoir de ses proches et de ses collaborateurs. Impossible de le ramener à la raison. Les plus grands spécialistes du « Vinatier » ont renoncé, indiquant qu’à l’impossible, nul n’est tenu !
Nous ne saurions trop vous conseiller de bannir cette « quenelle poison » de votre assiette. Son nom est déjà évocateur : Haschtagôlas !
La quenelle double de volume durant la préparation. Si le temps de cuisson n’est pas respecté, elle devient énorme et immangeable. On dit alors qu’elle est « lourdasse », en abrégé « Loulou » !! Elle finit à la poubelle !
La quenelle aux barabans, pourtant appréciée dans la Loire, et partout ailleurs, n’est pas du tout consommée à Lyon à cause de sa couleur verte, dit-on. Petite parenthèse : On sait que la couleur verte est maudite entre Rhône et Saône au point que, certains dirigeants du club de football lyonnais, voudraient que la pelouse du nouveau stade soit d’une autre couleur.
Une étude est en cours avec l’aide d’un célèbre journaliste de Canal+, originaire de la ville, surnommé « Margot »! Malheureusement les 1ers essais ont montré que même si Margot tond… l’herbe repousse toujours verte.
On préfère donc la quenelle dite « gratinée », ce qui est normal dans une ville bourgeoise.
Les quenelles s’accordent parfaitement avec les nouilles. Le lyonnais complètera volontiers le repas d’une andouillette et surtout de la fameuse cervelle de canut. (Les mauvaises langues disent « On est toujours attiré par ce qu’il nous manque »). Le haricot peut également être servit comme accompagnement, à condition, là encore, qu’il ne soit pas vert.
La quenelle de foie, est une variante très prisée dans l’est de la France, mais pas à Lyon, où il est difficile de trouver des foies de bonne qualité, à cause du Beaujolais.
Certaines nouvelles variétés, ont du mal à convaincre hors du Rhône, comme La Bio-lait, sans succès, ou la fade Kornia’quenelle (aux clovisses). Par contre la surgelée de chez Tintagel, qui n’est pas de la camelote et qui se conserve bien, rencontre un franc succès jusqu’en Bretagne.
Pour terminer, attention aux contrefaçons !
Effet pervers de la mondialisation, une variété de quenelles aux origines incertaines et à bas prix, s’incruste peu à peu dans la capitale du Rhône via le Net ! D’aspect, elles sont proches des lyonnaises, mais leur goût laisse à …désirer…vomir
De plus, la composition exacte n’est pas clairement indiquée sur l‘emballage. Il semblerait que quelques « plantes…ou résines…nocives » d’origines exotiques, seraient grandement utilisées, avec les conséquences que l’on imagine, sur les facultés mentales de ceux qui en abuseraient.
On a déjà l’exemple, d’un homme d’affaires lyonnais qui, à cause d’une consommation immodérée, fait le désespoir de ses proches et de ses collaborateurs. Impossible de le ramener à la raison. Les plus grands spécialistes du « Vinatier » ont renoncé, indiquant qu’à l’impossible, nul n’est tenu !
Nous ne saurions trop vous conseiller de bannir cette « quenelle poison » de votre assiette. Son nom est déjà évocateur : Haschtagôlas !
chevron_right Voir la fiche de Victor Petit