Saliba pourrait rapporter gros aux Verts
Dans son édition du jour, le journal l'Equipe consacre une page à la surenchère permanente qui existe sur le marché des transferts des jeunes joueurs français. Il y est notamment expliqué comment certains clubs vont au-delà de la charte du football professionnel, qui vient limiter les rémunérations des trois premières années professionnelles (2800€ / 3500€ / 4200€). C'est notamment le cas de l'AS Saint-Etienne qui a dû s'y résoudre pour conserver William Saliba, courtisé en Allemagne.
C'est ce qu'explique un agent au quotidien sportif : "Prenons l'exemple Saliba. Saint-Etienne a été obligé de faire l'effort car il savait qu'il y avait une concurrence allemande. Des clubs comme Mönchengladbach sont capables de verser des primes de 500 000€ à 3M€. Au final, le calcul est simple pour Sainté. Avant même qu'il pose un pied sur le terrain, Saliba vaut déjà 5-6M€. Même s'ils lui offrent une forte prime, ils feront une plus-value."
C'est ce qu'explique un agent au quotidien sportif : "Prenons l'exemple Saliba. Saint-Etienne a été obligé de faire l'effort car il savait qu'il y avait une concurrence allemande. Des clubs comme Mönchengladbach sont capables de verser des primes de 500 000€ à 3M€. Au final, le calcul est simple pour Sainté. Avant même qu'il pose un pied sur le terrain, Saliba vaut déjà 5-6M€. Même s'ils lui offrent une forte prime, ils feront une plus-value."
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